Pour les chocs dans le rugby, cela devient un problème, et effectivement je partages l'analyse sur l'évolution du jeu. des changements de règles sans doute devrait être étudié.
Pour le licenciement, je suis partagée sur l'histoire de la forme.
Sur le fond, il paye des causes plus globales, mais dans le sport moderne, il me semble compliqué de le garder. Même si, sans réflexions plus globales, cela ne servira à rien.
se pose aussi la question des mandats d'entraineur et de sélectionneur dans le sport de très haut niveau. je serai d'avantage pour un statut particulier. la fédé de rugby est en plus une des rares à faire signer 4ans un sélectionneur, ce qui n'a aucun sens. les contrats de deux ans sont d’avantages plébiscitées dans les autres sport.
Sur la forme, pour mettre fin à un cdd, il faut soit un accord soit une faute grave au minimum. ou une démission.
la fédé n'a jamais cherché à négocier avec novès, est-ce que cela aurait pu aboutir ? pas évident vu le contexte, l'inimitié entre novès et laporte, et le fait que novès se soit senti déstabilisé par la direction.
même chose pour une démission.
ils sont directement parti sur la faute grave, qui permettrait de ne pas verser les indemnités. Ceci étant, il semble acquis qu'ils n'ont pas respecté la procédure, ce qui surprend tous les avocats consultés. en effet, on apprends en droit sociale que les prud'hommes juge la forme avant le fond, et que sans respect de la forme, il apparait impossible de gagner.
la faute grave en sport, me semble quasi improuvable.
alors, ont-ils comme certain le suppose sciemment louper la procédure pour garantir les indemnités à novès ? j'y crois peu vu le contexte, l'avocat qu'ils ont pris (celui qui avait obtenu la faute grave dans le procès entre l'ol et puel, ce qui est rarissime dans le sport) et le fait qu'il s'expose à des indemnités complémentaires pour préjudice morale ou chose du type.
ou simplement se disant qu'ils devaient agir, sachant qu'une entente serait impossible, on agi rapidement, tout en ayant un peu de temps pour mettre de côté les indemnités. le non respect de la procédure, les différentes déclas dans la presse, reste très incompréhensible.