Pour la distance dans l'installation des tabourets, je pense que c'est voulu pour simplifier le jeu des caméras et leur permettre d'alterner lorsque chacun chante son couplet, mais effectivement le rendu visuel fut un peu particulier.
Il y eu quand même quelques échanges de regards, certains un peu inquiets de la part de Patrick FIORI, en tout début de chanson, lorsqu'il entend les chœurs, mais n'arrive pas à les repérer, mais en chantant debout, côte-à-côte, il y aurait eu tout de suite plus de chaleur humaine qui se serait dégagée, indubitablement.
Comme une de mes amies, je craignais que la voix de stentor de Patrick FIORI ne couvre celle de Nolwenn et fort heureusement, il n'en fut rien -le fait que chacun chanta par alternance, aida également-
J'ai vraiment apprécié ce moment de partage, petite pause de douceur fort à-propos dans cette soirée si spéciale
Quant à cette chanson, je ne la connais, me semble t-il, qu'interprétée par Bourvil et sa version est tout aussi tendre, comme il savait si bien le faire, tout en n'étant pas un chanteur hors pair. Mais en revanche ses interprétations étaient toujours savoureuses et très touchantes.
Comme quoi, chère Rantanplan, à chacun sa madeleine !
"Je suis homme et rien de ce qui est humain ne m'est étranger" Térence