Merci à Pieram de nolwenn.org
Quelques titres de chansons sont cités pour ceux qui ne voudraient rien savoir!!!!
GRENOBLE. Nolwenn Leroy a entamé hier soir
sa tournée française à Grenoble, au Summum, devant plus de 1 500 personnes
Contrairement à certaines idées reçues, Nolwenn Leroy n'attire pas que des adolescentes hystériques. Certes, on en comptait quelques-unes dans l'assistance, mais pas seulement. De nombreux couples, plus ou moins âgés, avaient aussi fait le déplacement pour le premier concert de la tournée de la gagnante de la Star Academy 2.
Certains étaient venus avec leurs enfants. D'autres seuls, comme Béatrice et Jean-François. "Même si je n'aime pas spécialement le style Star'Ac', j'estime que Nolwenn a vraiment une belle voix, et de , véritables qualités de chanteuse", explique ce dernier. En tout cas, les trois mois passés au Château, sous l'?il des caméras, ne lui ont pas fait prendre la grosse tête. C'est avec une réelle timidité teintée d'émotion que Nolwenn a d'emblée avoué aux spectateurs grenoblois le trac qu'elle ressentait à l'occasion de cette première. Au vu ! de l'attente du public, traduite par les nombreuses "olas" qui se sont " propagées dans la salle avant le début du concert, il y avait de quoi. Mais Nolwenn n'a pas déçu ses fans. Elle a suivi son étoile, est allée au bout de ses rêves, reprenant la chanson de Jean-Jacques Goldman. "Parce que c'est un artiste que j'adore, et parce que ce soir, c'est l'état dans lequel je me sens". Au fil des minutes, l'angoisse a semblé disparaître. Tantôt petite fille en fleurs qui sautille un peu dans tous les sens, tantôt grande séductrice lorsqu'elle s'installe sur un tabouret de bar américain pour chanter "La dernière overdose" dans une ambiance de piano-bar, la jeune chanteuse a su varier les registres. Et démontrer qu'élIe était aussi une musicienne accomplie, lors d'un solo de violon sur une reprise des Coors. Les 1 500 spectateurs ont semble-t-il apprécié sa prestation. Les nombreuses fleurs, lettres et autres peluches déposées à ses pieds tout au long du concert en témoignent.
Compte rendu lu dans le Dauphiné Libéré du Dimanche 7 Décembre