Merci à Steph d'org
En première page sur le coté, une petite photo de Nolwenn en train de signer des autographes avec en titre "Nolwenn rencontre nos lecteurs, pas les spectateurs"
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"Nolwenn, on t'aime !"
CONCERT : jusqu'à la dernire minute, elle a voulu y croire. Mais affaiblie par un fort mal de gorge, Nolwenn Leroy a dû se résoudre à ne pas monter sur scène et à annuler son concert hier soir. De l'autre côté du Dôme, le public, compréhensif, lui a lancé des messages d'amour.
"Je vais vraiment avoir besoin de vous ce soir." Il est presque 19h hier, lorsque dans sa loge, Nolwenn reçoit deux lecteurs de Marseilleplus. Entre deux dédicaces, elle leur confie ses inquiétudes. Elle est malade depuis le matin, et "c'est de pire en pire", lance-t-elle. On la croit sur parole. Sa voix, si pure d'habitude, est roque. Sans doute un mauvais coup de froid la veille, lors de son concert à Sanary. Son assistante arrive au même moment de la pharmacie, un sac de médicaments à la main. "Tu peux compter sur nous", glissent, en quittant la loge, les deux fans. Cela ne sera pas suffisant. Il est maintenant 20h30 et Julie d'Aimé entre en scène pour la 1ère partie de la soirée. Le public, beaucoup de jeunes accompagnés de leurs parents ( ), ne se doutent pas qu'au même moment 2 médecins examinent en coulisses la gagnante de la "Star Ac 2".
Le verdict tombe : elle ne pourra pas chanter ce soir, au risque d'abîmer ses cordes vocales. Du côté des régisseurs, on est un peu déboussolé et on redoute d'annoncer la mauvaise nouvelle à la salle. Ce sera finalement Yannis, le régisseur de la tournée, qui montera sur scène."Nous avons dû prendre une lourde décision, celle d'annuler le concert", explique-t-il. Une seconde de silence à peine et la magie Leroy reprend le dessus. "Nolwenn on t'aime !" hurlent, en guise de remède, les fans. Ils ont bien raison car leur reine, blottie dans sa loge, pleure. Son équipe est là pour la réconforter. Julie d'Aimé passe lui glisser un mot. Le Dôme se vide, il est 21h30. Devant le portail de service, des fans se massent. Improbables médecins, au chevet de leur patiente.
Guilhem Ricavy
Tu restes dans nos coeurs
Non connecté
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) est beaucoup plus juste que celui de la Dépêche.
comme le montre la photo de la provence d'ailleurs 
