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un papillon
Ajouté le : 11/11/2022 15:52
Sujet : L'Etat s'empare de l'argent de nos retraites complémentaires dès 2024 (49/3 Sécurité Socia

Barge

sans la musique la vie serait une erreur (Nietzsche)

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https://www.liberation.fr/checknews/letat-sapprete-t-il-a-voler-90-milliards-aux-retraites-complementaires-des-salaries-du-prive-20221104_G5FTXGHUURAX5KNOABLAUDOUL4/


L’Etat s’apprête-t-il à voler 90 milliards aux retraites complémentaires des salariés du privé ?


Mais quel média en parle, que fait-on pour empêcher cela ?

Qui va bouger ; il s'agit des retraites de tous pourtant , c'est du vol
avec le 49/3 Macron a fait juste reculer ce qu'il voulait faire dès maintenant et qui se fera en 2024

L'Etat va piquer dans les caisses bien gérées pour combler des trous un peu partout, chacun sait qu'il n'y a pas plus mauvais gestionnaire que l'Etat, et cela depuis bien longtemps.

Tout fonctionnait bien, nous étions protégés grâce à une excellente gestion, c'est fini



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un papillon
Ajouté le : 11/11/2022 17:40

Barge

sans la musique la vie serait une erreur (Nietzsche)

Enregistré le 27/11/2005
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"Assiste-t-on à un hold-up de l’Etat sur les retraites complémentaires ? Depuis plusieurs jours, des politiques, syndicalistes, ou personnalités du monde de l’entreprise s’inquiètent d’un projet du gouvernement visant, selon eux, à faire main basse sur les 90 milliards de pensions (et 70 milliards de réserves) versées chaque année par l’Agirc-Arrco aux salariés du privé. Un système de retraite par points gérés par les seuls partenaires sociaux (syndicats et patronat), à la différence du régime de base par annuités, piloté par la caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav).
"



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un papillon
Ajouté le : 11/11/2022 17:41

Barge

sans la musique la vie serait une erreur (Nietzsche)

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Et bien Macron l'a fait grâce avec 49/3 sur la Sécurité Sociale , il a juste accepté que ce soit reporté en 2024 Et tout cela est fait en catimini


«Il y avait un truc qui marchait bien, c’était la retraite complémentaire Agirc-Arrco, expliquait ainsi la cheffe d’entreprise Sophie de Menton sur Sud Radio fin octobre. Ça marchait très bien, c’était privé. Eh bien l’Etat l’a récupéré. C’est-à-dire que c’était privé et que ça devient public. […] Le gouvernement a voulu un transfert du recouvrement des cotisations des retraites complémentaires de tous les salariés du privé, c’est une étatisation du système social. Et pourquoi il fait ça ? Eh bien parce que c’est un argent dont il peut avoir besoin. Et moi, ça m’inquiète énormément qu’un Etat puisse se servir de l’argent des retraites.»



Dans une tribune publiée dans le JDD le 29 octobre, une dizaine de parlementaires, de droite comme de gauche, s’inquiètent eux aussi d’une telle réforme : «Le transfert voulu par le Gouvernement du recouvrement des cotisations Agirc-Arrco aux Urssaf – soit celles des retraites complémentaires de tous les salariés du privé – est un nouveau pas vers l’étatisation de la protection sociale. En prenant la main sur 90 milliards d’euros de cotisations de l’Agirc-Arrco, l’Etat se donne les moyens de s’accaparer le patrimoine de plus de 50 millions de Français et 2 millions d’entreprises. Il fait ainsi le choix de la facilité face au déficit persistant des comptes sociaux, en démantelant et en se servant de fait dans les caisses d’un régime pourtant bien géré.»




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un papillon
Ajouté le : 11/11/2022 17:48

Barge

sans la musique la vie serait une erreur (Nietzsche)

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Pas de quoi convaincre Brigitte Pisa, la vice-présidente CFDT de l’Agirc-Arcco : «La mesure prévue dans le PLFSS 2020 avait une logique à l’époque, quand il s’agissait de créer un régime unique. Mais aujourd’hui, avec l’abandon du projet, ça n’a plus de sens.» Et de s’inquiéter de l’avenir même des régimes complémentaires. «Sur un plan technique, il y a de gros risques que les Urssaf fassent des erreurs, car ils ne maîtrisent pas notre système qui abrite, pour 25% des entreprises, soit 9 millions de salariés, des taux dérogatoires au taux légal. Ils ne sont pas outillés pour faire ce que l’on a mis dix ans à mettre en place.» Mais le plus inquiétant pour elle résiderait dans les intentions cachées du gouvernement : «L’objectif, à terme, est de nous prendre notre argent. Car à partir du moment où l’on ne maîtrise plus nos ressources, que l’on devient un simple attributaire des Urssaf, sans savoir exactement combien ont été collectés, on perdra notre autonomie. On sera seulement chargés de gérer une enveloppe financière qui nous sera allouée.» Avec comme perspective le maintien d’«un paritarisme de façade», où les partenaires sociaux ne décideraient plus vraiment des orientations des régimes complémentaires, c’est-à-dire des taux de cotisations et du niveau des pensions.



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un papillon
Ajouté le : 12/11/2022 12:11

Barge

sans la musique la vie serait une erreur (Nietzsche)

Enregistré le 27/11/2005
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Petit à petit Macron casse les acquis sociaux, menés de longue lutte par nos ancêtres , c'est grave tout de même. Il ne touche pas aux fonctionnaires ; il a essayé mais il y a eu les gilets jaunes, alors à défaut , il s'en prend au privé , et les retraites vont être forcément baissées un peu à la fois puisque les caisses ne seront plus gérées par commission tripartite.


Au lieu de donner des augmentations qui suivent l'inflation , MACRON incite les patrons à donner des primes sans cotisation, mais c'est un mauvais calcul car du coup cela n'entre pas dans le calcul des retraites et de fait les retraites vont baisser.

Des dispositions nouvelles sont votées régulièrement pour la Sécurité sociale pour ne plus rembourser des produits même obligatoires (cancer par ex) mais aussi pour des examens de prévention , les délais sont très allongés.

Les hôpitaux sont à l'os partout et pour avoir des examens urgents , on n'arrive plus à les obtenir.

Pour les urgences , n'en parlons pas , le samu Sos médecins ne viennent plus, on est obligés d'appeler les pompiers

Pour les personnes âgées , ils ne traitent plus bien les gens dans bien des cas si les familles ne sont pas là pour surveiller

Plus d'argent nulle part parait-il ?
.



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un papillon
Ajouté le : 29/04/2023 13:38

Barge

sans la musique la vie serait une erreur (Nietzsche)

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Enfin sans doute une bonne nouvelle

https://www.capital.fr/votre-retraite/retraite-complementaire-le-transfert-polemique-des-cotisations-agirc-arrco-aux-urssaf-abandonne-1457230

L’exécutif vient de renoncer à son projet de transférer le recouvrement des cotisations Agirc-Arrco vers les Urssaf. Un geste envers les partenaires sociaux et Les Républicains.



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un papillon
Ajouté le : 29/04/2023 13:47

Barge

sans la musique la vie serait une erreur (Nietzsche)

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Toujours pas de point final. En retoquant l’annulation du transfert du recouvrement des cotisations Agirc-Arrco vers les Urssaf, vendredi 14 avril, le Conseil constitutionnel a relancé un débat qui dure depuis plus de deux ans. À l’origine, il était prévu qu’au 1er janvier 2022, ce ne soit plus l’Agirc-Arrco qui récupère les cotisations retraite, mais les Urssaf. Un projet qui a mis vent debout les partenaires sociaux, gestionnaires de ce régime complémentaire des salariés du privé. Ils ont immédiatement fait part de leurs craintes de voir des erreurs dans le calcul des futurs droits. Ils ont aussi vu dans ce transfert une future mainmise de l’État sur ce régime.

Afin de répondre à ces craintes et de garantir la fiabilité des données, le transfert a d’abord été reporté au 1er janvier 2023. Mais, en plus des partenaires sociaux, les sénateurs ont rejoint la contestation en publiant en rapport au vitriol mettant en cause la fiabilité de la collecte des données par l’Urssaf. Toujours dans le but de rassurer, la mesure a de nouveau été reportée, au 1er janvier 2024. Finalement, le gouvernement a décidé de faire une croix sur ce projet en annulant purement et simplement ce transfert, via un article de la réforme des retraites. Ouf de soulagement du côté des partenaires sociaux, qui pensaient que le sujet était définitivement clos.



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un papillon
Ajouté le : 01/05/2023 17:44

Barge

sans la musique la vie serait une erreur (Nietzsche)

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L'omelette au lard et l'euthanasie

Photo : Shutterstock
La poule et le cochon sont affectés très différemment dans la recette de l’omelette au lard : la première est concernée, le second est impliqué. Certes, la poule n’est pas étrangère à l’affaire : elle donne ses œufs. Mais pour le cochon qui fournit le lard, le sujet est existentiel : il s’agit de sa peau.

La parabole peut s’appliquer au grand public et aux soignants sur l’euthanasie : l’un est concerné, l’autre est impliqué. Le sujet s’adresse à tout le monde, bien sûr, mais pour le grand public, cela restera globalement une question assez lointaine, tandis que, pour les personnels soignants qui seront, si la loi passe, obligés de préparer eux-mêmes le produit létal, de faire eux-mêmes le geste de piquer, et d’injecter eux-mêmes le poison mortel dans le corps de leur patient, la perspective est tout autre.

Ce rapport différent et inégal au sujet explique le décalage total entre le public et les soignants. Alors que la convention citoyenne sur la fin de vie vient de se prononcer à une large majorité en faveur de l’euthanasie, que les députés s’apprêtent à voter sans problème ni obstacle le changement de loi et que les sondages assènent que le grand public y est favorable, les soignants sont, à l’inverse, vent debout contre la réforme : dans une démarche d’une ampleur inédite, 13 organisations, représentant 800 000 soignants accompagnant chaque jour des personnes en fin de vie, ont lancé un cri d’alarme en déclarant dans une tribune leur opposition à faire de la mort médicalement provoquée un acte de leur quotidien. L’obligation de procéder à ce geste « questionne fondamentalement la pratique et l’éthique soignantes » et conduirait à « subvertir la notion même de soin ». Car, comme le rappelle Claire Fourcade dans notre sélection, « donner la mort n’est pas un acte de soin ».

Le serment d’Hippocrate, qui fonde l’engagement des personnels soignants depuis 2 400 ans, est sans appel et interdit formellement ce type d’acte : « Je ne provoquerai jamais la mort délibérément. » Il s’agirait donc d’un « glissement éthique majeur », explique la tribune qui propose d’emprunter une autre direction en « laissant le monde du soin à l’écart de toute implication dans une forme de mort administrée » et en « améliorant significativement le cadre d’accompagnement des personnes en fin de vie ». Même si la loi intégrait une clause de conscience comme l’a demandé le président du Conseil national de l’Ordre des médecins (Cnom) le 15 septembre dernier dans le Quotidien du Médecin, cette clause serait certainement aussi difficile à invoquer que celle qui existe théoriquement pour éviter de pratiquer un avortement. Par ailleurs, pour les organisations représentant les soignants, le plus urgent n’est pas de changer une loi qui convient dans l’immense majorité des cas, mais de faire bien davantage pour la prise en charge de la douleur et l’universalité des soins palliatifs. Au lieu de conduire à la multiplication de situations dramatiques (cf. toutes les expériences de légalisation de l’euthanasie à l’étranger) et de mettre en danger les plus faibles (cf. le livre Docteur, ai-je le droit de vivre encore un peu ? de Tugdual Derville), cet effort permettrait une amélioration réelle et concrète de l’accompagnement de la fin de vie, comme pourrait être aussi très importante une véritable formation des médecins et du personnel soignant en soins palliatifs qui se trouvent régulièrement confrontés à des cas limites et difficiles où il faut discerner avec prudence s’il y a ou non acharnement thérapeutique.

Le projet de loi actuel pose, en fait, une question à la démocratie : un processus démocratique s’appuyant sur une majorité de personnes non impliquées a-t-il le droit d’imposer à des personnes impliquées une pratique qui heurte profondément leur conscience et leur pratique séculaire de la médecine et du soin ? Peut-on toucher, au gré des majorités législatives fluctuantes et d’une opinion publique influencée par les médias et les idéologies du moment, aux fondements de la civilisation ? Le commandement fondateur « Tu ne tueras pas » peut-il être réexaminé, mis au vote, nié et rejeté ? Son exact opposé peut-il être imposé par une majorité populaire désinvolte à des personnels soignants qui n’en veulent pas ? Il est clair que la loi transgressive qui se profile nous décharge de notre responsabilité collective sur d’autres qui devront exécuter des actes graves et traumatisants et qu’elle pose de ce fait un énorme problème moral.

Olivier Bonnassies

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un papillon
Ajouté le : 03/05/2023 14:36

Barge

sans la musique la vie serait une erreur (Nietzsche)

Enregistré le 27/11/2005
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Exemple de notre URSSAFF , C'EST TOUT DIRE !!!



Il s’agit d’une "erreur informatique" aux potentiels effets néfastes pour les usagers victimes. Lors du week-end du 1er mai, l’Union de recouvrement des cotisations de sécurité sociale et d’allocations (Urssaf) a diffusé des milliers de documents confidentiels concernant des cotisants à 7 400 mauvais destinataires, selon une information dévoilée par Le Monde mardi 2 mai. L’Urssaf a reconnu au quotidien avoir commis une "erreur informatique". À la suite de ces révélations, l’organisme de collecte a annoncé avoir saisi la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL).

"Les informations de travailleurs indépendants ayant réalisé leur déclaration de revenus avant le 17 avril ont été affichées sur le compte en ligne de 7 400 travailleurs indépendants", a expliqué l’Urssaf. Des travailleurs indépendants ont relayé sur les réseaux sociaux avoir reçu des échéanciers de régularisations d’autres personnes. Ces données personnelles intègrent aussi bien les revenus de ces derniers, leurs coordonnées bancaires ou encore leurs adresses et titres d’identité.


En Picardie, la semaine de quatre jours de travail à l'essai pour les agents de l'Urssafpar BFMTV


Des documents finalement supprimés

Chaque année, les travailleurs indépendants doivent indiquer au printemps leurs revenus à l’Urssaf pour établir un nouvel échéancier de cotisations sociales. 49 000 personnes devaient s’atteler à cette tâche au cours du week end du 1er mai. Au final, seuls 7 400 personnes ont pu accéder aux fichiers d’autres cotisants pendant une courte période, avant que les documents soient supprimés par l’Urssaf. L'institution conseille par ailleurs aux victimes d'"être vigilantes sur d'éventuels mouvements bancaires suspects".



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